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Chapitre N°1
« à la terrasse d’un bar »
Ce jour là, nous décidâmes de mettre en place un nouveau petit jeu. Colette portait une adorable petite jupe serrée et plutôt courte, ainsi qu’un chemisier suffisamment transparent pour deviner sa délicieuse anatomie. Nous arrivions à la fin du mois de septembre et les journées étaient encore plutôt belles.
« Attends moi dans le salon, me lança t elle » pendant qu’elle passait dans la salle d’eau pour se faire belle. Elle en ressortit avec ce joli petit ensemble agrémenté d’une veste mi-longue et d’escarpins dont je raffolais…. Sa chevillière brillait et donnait à ses jambes bronzées une allure magnifique. Je la trouvais particulièrement craquante et désirable. Je m’approchais et l’enlaçait. Elle sentit que je voulais la caresser et doucement, avec un sourire espiègle, elle me repoussa et me pria d’attendre un peu pour découvrir son petit jeu du jour.
Nous décidâmes de partir le long de la côte et d’aller marcher main dans la main sur le port de Carantec. Le temps était vraiment clément. Arrivé le long des quais, elle m’invita à nous asseoir à la terrasse d’un café particulièrement bondé sous ce ciel bleu. Derrière ses lunettes de soleil, je ne voyais pas ses yeux, mais je savais qu’ils brillaient de cette malice que j’apprécias tant. Face à moi, et dos à la mer, je pouvais l’admirer en toute impunité sans que quiconque ne puisse en voir autant que moi…. C’est là qu’elle démarra son jeu. Doucement elle souleva une jambe pour la croisée sur l’autre et je compris à son sourire qu’elle me demandait de regarder le haut de ses cuisses. Intrigué, j’observais et m’aperçut qu’elle ne portait pas de culotte. Son sexe rasé de près, laissait apparaître une petite toison très courte et ses lèvres étaient offertes comme un coquillage merveilleux. Elle se pencha alors vers moi et je vis que ses seins étaient aussi libres que l’air. Ses pointes s’imprimaient sur le tissu du chemisier.
« Je me suis mise à nu sous mon ensemble, pour te faire rêver mon petit chat ».
Je ne voyais déjà plus la mer ni le petit port. Sa veste lui permettait de poser sa main sur la jambe et d’un doigt elle se caressait la cuisse. Mon érection fut immédiate. On nous servit deux cafés. Elle attrapa sa tasse, but une gorgée en me souriant et lorsque qu’elle la reposa, eut le temps de glisser un doigt vers son intimité, sans même que l’on puisse la voir de la terrasse. Personne ne pouvait se douter à part moi, de son petit jeu. Puis elle me tendit la main que j’embrassais avec délicatesse et mon sexe durcit un peu plus en sentant l’odeur absolument merveilleuse qui s’en dégageait.
« Je ne te laisserai pas rentrer jusqu’à la maison sans t’avoir caressée…. ».Elle acquiesça d’un sourire qui en disait long.
« Alors allons-y…. ». Elle décroisa les jambes, se retourna pour se lever et alors que je réglais l’addition je vis que notre voisine de table n’avait rien perdu de la scène. Ni Colette ni moi n’avions vu qu’elle avait le regard porté sur nous…. Je vis par contre à ses joues devenues roses que le jeu de jambes de ma compagne l’avait troublée.
En remontant vers la ville, nous primes un petit chemin bordé de pins et là, seuls, mais au risque de nous faire démasquer, Colette me laissa la caresser longuement, une main sous sa jupe, l’autre sur son corsage…. N’en restant pas là, elle m’embrassait fougueusement et me masser l’entrejambe. Elle m’avoua qu’elle avait vu notre voisine de table nous regarder mais que cette situation m’étant réservée, elle n’avait pas voulu s’arrêter en chemin… Nous partîmes d’un même râle…. Je venais pour la énième fois d’être envoûté….